Quel produit naturel peut remplacer le dentifrice ?

Essentiel à l’hygiène bucco-dentaire, le dentifrice est l’assurance de dents saines et d’un sourire radieux. Pourtant, les produits conventionnels font l’objet de controverses en raison de leur formulation défavorable à la santé. Face à ce constat, des dentifrices estampillés naturels ou biologiques font leur apparition. Découvrez quels sont-ils, leur efficacité et comment en confectionner.

Quel est le meilleur dentifrice pour la santé ?

Choisir le bon dentifrice est crucial afin d’éviter tout contact avec les substances nocives pour la santé.

Pourquoi le dentifrice est indispensable pour la santé ?

Le terme dentifrice est tiré du latin dentifricum, un assemblage de « dens, dentis » signifiant dents et « fricare » ou frotter. Il s’agit donc d’une substance avec laquelle se frotter les dents.

Cela n’est plus à démontrer : le dentifrice nettoie les dents, conserve une bonne haleine et contribue à offrir un sourire éclatant.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, près de 3,5 milliards d’individus dans le monde souffrent d’affections bucco-dentaires, dont la plupart est évitable grâce à une bonne hygiène buccale. En effet, cette routine prévient l’apparition des caries dentaires, responsables de la majorité de ces maladies bucco-dentaires.

Se brosser quotidiennement les dents est ainsi une opération impérative pour garder des dents en bonne santé. L’idéal est à raison de deux ou trois fois par jour, et ce, après chaque repas. Ce geste régulier prévient l’inflammation des gencives en délogeant la plaque dentaire, les dépôts de nourriture et les bactéries qui, une fois transformés en tartre, abîment l’émail des dents.

Toutefois, le choix d’un dentifrice n’est pas anodin, car sa composition est susceptible d’impacter sur la santé buccale. Zone sensible, la bouche est en effet tapissée d’une muqueuse fragile et perméable aux éventuelles substances nocives présentes dans les produits d’hygiène bucco-dentaire. En traversant la barrière cutanée, elles se retrouvent alors dans l’organisme. De plus, à chaque brossage, un individu en ingère inconsciemment une petite quantité. Cela l’est d’autant plus chez les enfants, souvent friands des arômes synthétiques de certaines références.

Que contient un dentifrice ?

Les dentifrices classiques sont proposés sous forme de pâte, de gel ou encore de poudre. Ils contiennent deux types d’ingrédients : les principes actifs et les excipients. Ces derniers, également appelés ingrédients inactifs, comprennent les agents de base et des adjuvants divers.

Les composants de base

Cette catégorie inclut l’eau, les éléments abrasifs, les épaississants, les humectants et les détergents.

Les adjuvants divers

Les adjuvants divers renferment des agents stabilisants et conservateurs, des édulcorants, des colorants et des parfums.

Les principes actifs

Souvent appelés agents thérapeutiques, ces composants confèrent des propriétés antitartres, antiseptiques, éclaircissantes, reminéralisantes ou désensibilisantes au dentifrice.

Dentifrices : les règlementations

Dans le cadre international, les dentifrices peuvent répondre à différentes normes ISO :

  • NF EN ISO 7405:2018 : il s’agit d’une évaluation de la biocompatibilité des différents dispositifs médicaux employés en médecine bucco-dentaire ;
  • NF EN ISO 11609:2017 : porte sur les exigences, marquages et méthodes d’essai ;
  • NF EN ISO 10993-1:2018 : correspond à une évaluation biologique des différents dispositifs médicaux.

Au niveau national, la mention NF ou Norme Française certifie la qualité du produit. Elle est distribuée par l'Association française de normalisation (AFNOR) à la demande du producteur.

Dans l’Hexagone, il existe deux types de dentifrices : les dentifrices pharmaceutiques et les dentifrices cosmétiques.

Les dentifrices pharmaceutiques

Assimilés à des médicaments, ces dentifrices doivent faire l’objet d’une autorisation de mise sur le marché et sont obligatoirement commercialisés en pharmacie. Selon le code de la Santé publique (article L.5111-1), le médicament concerne : « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que toute substance ou composition pouvant être utilisée chez l’homme ou chez l’animal ou pouvant leur être administrée, en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions physiologiques en exerçant une action pharmacologique, immunologique ou métabolique. »

Les dentifrices cosmétiques

Selon L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le produit cosmétique est : « une substance ou un mélange destiné à être mis en contact avec les diverses parties superficielles du corps humain (épiderme, systèmes pileux et capillaire, ongles, lèvres et organes génitaux externes) ou avec les dents et les muqueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d'en modifier l'aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les odeurs corporelles. »

De ce fait, les dentifrices cosmétiques ne nécessitent aucune autorisation de mise sur le marché. Toutefois, ils doivent répondre à des exigences réglementaires et législatives, et ne revêtir aucun risque pour la santé.

Par ailleurs, l’arrêté du 6 février 2001 définissant la liste des composants autorisés dans les produits cosmétiques annonce que :

  • Les dentifrices dont la teneur en fluor est inférieure à 1 500 ppm sont classés dans les produits cosmétiques et peuvent être proposés en vente libre ;
  • Les dentifrices dont la teneur en fluor excède 1 500 ppm n’en font pas partie. Ils sont catégorisés dans les dentifrices pharmaceutiques.

Quelles sont les substances nocives dans les dentifrices ?

Plusieurs composants potentiellement toxiques ont été retrouvés dans les pâtes dentifrices conventionnelles ainsi que les produits de soin dentaire issus des fabricants industriels. Ces ingrédients chimiques peuvent entraîner des effets indésirables sur l’organisme, voire des pathologies associées.

La toxicité topique

La toxicité topique est avérée lorsque l’un des ingrédients du dentifrice entraîne une toxicité locale au niveau des muqueuses de la cavité buccale, notamment labiale, jugale, gingivale, linguale ou palatine. Ils entraînent généralement des ulcérations et des irritations.

La toxicité systémique

Les composants des dentifrices sont susceptibles d’atteindre le système sanguin à travers plusieurs portes d’entrée : inhalation, ingestion et autres passages transmuqueux. Une fois dans l’organisme, ils sont distribués dans différents organes comme le cerveau, les reins et le foie.

  • La voie orale

Cette voie est particulièrement observée chez les enfants ayant tendance à avaler une partie de leur pâte dentifrice lors du brossage des dents. Selon les résultats d’une étude, les enfants de 2 ans ingèrent près de 57 à 70 % de la quantité étalée sur la brosse à dents. En extrapolant, ceux de 6 ans en avaleraient près du quart, voire de la moitié, les exposant ainsi à un risque accru à l’égard de la toxicité des ingrédients.

  • La voie inhalée

Aucune étude n’a encore été menée quant à la quantité de dentifrice inhalée durant le brossage. Toutefois, il est possible de supposer qu’une faible quantité, voire minime, peut rejoindre les alvéoles pulmonaires à l’inspiration.

  • La voie transmuqueuse

Le passage par voie transmuqueuse est également envisageable dans la cavité orale. C’est par exemple le cas des médicaments pris par voie sublinguale et assimilés dans l’organisme au travers des muqueuses sublinguales.

Les abrasifs

Composants essentiels des dentifrices classiques, les abrasifs sont particulièrement irritants pour les muqueuses de la cavité buccale, en l’occurrence gingivale. Cela l’est d’autant plus en cas de brossage trop énergique ou avec une brosse à dents trop dure.

Sodium lauryl sulfate

Le sodium lauryl sulfate (SLS) inclut la liste des substances problématiques. Ce tensio-actif sulfaté est un détergent largement utilisé dans les dentifrices en raison de son action effervescente. Malgré sa faible teneur, soit d’environ 0.5 à 2 %, il conserve son potentiel irritant, occasionnant :

  • Desquamation épithéliale ;
  • Irritation cutanée et muqueuse, responsables des aphtes ;
  • Allergies.

Ce composant est également connu comme étant un perturbateur endocrinien.

Dioxyde de titane

Selon une étude réalisée en 2019 par l’association Agir pour l’environnement, près de 2/3 des dentifrices commercialisés en France renferment une substance controversée, le TiO2 ou dioxyde de titane, ou encore additif E171. Il est souvent utilisé dans la nourriture, les médicaments, les peintures et les cosmétiques en tant que pigment blanc. Sa couleur blanche provient de petites particules mesurant entre 200 et 300 nm. Pourtant, son processus de fabrication donne naissance à des nanoparticules NPs (particules < 100 nm) dont la présence dans les produits alimentaires est potentiellement toxique.

En effet, une étude révèle que les TiO 2 NPs ont la capacité de modifier la sévérité d’une tumeur chez les souris en générant des dérivés actifs de l’oxygène ou Reactive Oxygen Species (ROS). Par ailleurs, les TiO 2 NPs sont également susceptibles de provoquer, chez la souris et le rat, une toxicité dans le foie, les poumons, la rate, le rein, le cerveau…

En 2006, le dioxyde de titane a été classé comme « cancérogène possible pour l'Homme » en cas d’inhalation par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Bien que son interdiction dans les denrées alimentaires ait été officialisée depuis janvier 2020, l’additif E171 reste utilisable dans les cosmétiques et les dentifrices.

Toutefois, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) sollicite une grande vigilance quant à l’usage du dioxyde de titane et lance des recommandations générales.

Triclosan

Le triclosan (TCS) est un antimicrobien puissant, très présent dans les soins personnels. Sa première utilisation remonte dans les années 70. Une étude a démontré son potentiel à traverser la circulation sanguine, après une exposition orale, au travers du tractus gastro-intestinal ou des muqueuses de la cavité orale. Plusieurs autres ont révélé ses effets néfastes.

Selon l’Inserm, ce bactéricide agit comme un perturbateur endocrinien en accentuant les troubles du comportement chez les plus jeunes. En cas d’une exposition prénatale, il aurait également de graves répercussions sur le développement du cerveau du fœtus. Il figure dans la liste des éléments chimiques les moins recommandés dans les dentifrices classiques.

Les parabènes

Les parabènes sont largement utilisés en tant que conservateurs dans les dentifrices en raison de leurs propriétés antifongiques et antibactériennes. Nonobstant leur quantité insignifiante à l’égard de l’apport alimentaire, ils peuvent être ingérés lors du brossage par le biais des pâtes dentifrice. Des études ont prouvé leur pouvoir de perturbateur endocrinien, même à faible dose, impactant ainsi la fonction thyroïdienne. Ils sont également décriés pour leurs effets irritants, occasionnant ainsi des réactions allergiques ou des dermatites de contact. De plus, ils sont potentiellement cancérigènes, en l’occurrence pour l’œsophage, l’estomac, le foie et la vessie.

À savoir que la grande famille de conservateurs comme le parabène affiche plusieurs dérivés, qui ne sont pas tous interdits par la législation européenne. Par exemple, les fabricants de dentifrice sont autorisés à y incorporer du sodium propylparaben, mais en faible quantité. Il est notamment utilisé pour ses propriétés antifongiques et antibactériennes. La DEA ou Diethanolamine y est également utilisée en tant que composant moussant. Au-delà de ses aspects esthétiques, elle constitue un perturbateur endocrinien puissant.

Par précaution, il est préférable d’éviter l’« effet cocktail » en réduisant toute exposition répétée à ces substances au travers des dentifrices.

Les parabènes souvent retrouvés sur l’INCI sont entre autres :

  • Le Methylparaben ;
  • Le Butylparaben ;
  • Le Propylparaben ;
  • L’Ethylparaben ;
  • Le Parahydroxybenzoate de méthyle.

Dérivés de la pétrochimie

S’il est inconcevable d’utiliser le pétrole pour le brossage des dents, plusieurs consommateurs en sont pourtant victimes. En effet, plusieurs dentifrices vendus en parapharmacie ou en grande surface renferment des composants issus de la pétrochimie. Parmi les actifs indésirables figurent les huiles minérales, les édulcorants de synthèse ou les polymères.

Les dentifrices naturels : la solution healthy

Opter pour un dentifrice naturel prévient les nombreux risques associés aux substances nocives et indésirables présentes dans les formulations chimiques.

Les dentifrices naturels sont essentiellement élaborés à base d’actifs issus de l’agriculture biologique et sont tout aussi performants que les dentifrices traditionnels. Leur formulation est dénuée de tous les ingrédients dont la toxicité a été démontrée ou suspectée. Ils offrent une hygiène bucco-dentaire égale, moins les risques potentiels sur la santé. Grâce à leur composition naturelle, ils respectent le pH de la muqueuse buccale et préviennent tout autant la formation de plaque dentaire. Ces produits naturels sont particulièrement recommandés aux individus souffrant de sensibilité dentaire, car ils préservent et protègent l’émail.

dentifrice la marque en moins

Avec sa formule certifiée ECOCERT, le dentifrice la marque en moins est un produit sain respectueux de votre santé 

Quels sont les meilleurs dentifrices naturels ?

Les dentifrices naturels renferment principalement des ingrédients issus du milieu minéral et/ou du milieu végétal. Ils sont ainsi dépourvus d’actifs susceptibles de troubler l’équilibre du microbiote buccal et, par ricochet, la santé. Toutefois, cette naturalité n’affecte en rien son efficacité.

Les dentifrices naturels ou bio : comment les reconnaître ?

Contrairement aux dentifrices dits de synthèse, ces produits labellisés sont exempts d’agents moussants artificiels, de colorants, de conservateurs chimiques et d’arômes synthétiques. Ils contiennent principalement :

  • Des extraits de plante ;
  • Des arômes naturels ;
  • Des huiles essentielles ;
  • Des édulcorants naturels ;
  • Du sel marin ;
  • Des édulcorants naturels.

Pour être estampillés bio, ces dentifrices doivent satisfaire des critères précis et des exigences issues d’un cahier des charges spécifique. Leur conformité est assortie d’un label certifié :

Le label Cosmébio est la garantie d’un dentifrice à la formulation clean. Ce sont notamment les logos affichés sur les produits cosmétiques, à l’instar de Cosmos NATURAL (produit certifié naturel avec une importante limitation de produits en provenance de l’industrie pétrochimique). Il en est de même pour Cosmos ORGANIC dont les produits sont certifiés bio suivant les normes dédiées, soit au moins 20 % d’ingrédients bio sur l’ensemble de la composition.

Intégrant le groupement Cosmébio, le cahier des charges du BDIH ou Bundesverband der Industrie und Handelsunternehmen place le respect de l’environnement au cœur de sa production. Si le document ne prévoit aucun pourcentage spécifique en termes de composants biologiques, il exige toutefois que les ingrédients de base soient issus de l’agriculture biologique. Le label BDIH garantit ainsi une formulation exempte de produits nocifs pour les organismes aquatiques, non testés sur les animaux ou emballés sans PVC.

Le label Ecocert garantit, quant à lui, 95 % d’ingrédients végétaux en provenance de l’agriculture biologique et un minimum de 10 % d’ingrédients biologiques. De plus, il privilégie les emballages recyclables, pour une démarche éco-consciente.

Les dentifrices naturels de la marque en moins sont certifiés par Ecocert Greenlife avec le label Cosmos Organic. Ils sont formulés à 99 % d’ingrédients d’origine naturelle, dont 20 % issus de l’agriculture biologique. Renfermant 1 450 ppm de fluor, ces soins dentaires préviennent la formation de caries et conviennent parfaitement aux gencives sensibles.

Quel dentifrice naturel choisir ?

Aujourd’hui, l’offre de dentifrices naturels est suffisamment large afin que chaque consommateur puisse y trouver son compte : dentifrice bio pour gencives fragilisées, dents blanches ou haleine fraîche.

Néanmoins, certaines marques peuvent encore proposer des dentifrices dont la formulation, même naturelle, présente des ingrédients trop abrasifs pour l’émail, en raison de leur dosage élevé. Il importe ainsi d’inspecter la composition des dentifrices bio afin de limiter ces effets corrosifs.

Les agents abrasifs dans les dentifrices naturels

Certains ingrédients comme l’argile verte ou le bicarbonate de soude sont indispensables à la confection d’un dentifrice bio. Pourtant, une trop grande quantité d’agents gommants risque de fragiliser peu à peu l’émail dentaire, qui devient plus sensible.

Les huiles essentielles dans un dentifrice bio

Les huiles essentielles figurent parmi les ingrédients phare dans la formulation de plusieurs dentifrices bio. Ce choix s’explique notamment par leurs multiples bienfaits sur la sphère bucco-dentaire. Néanmoins, elles doivent être utilisées avec parcimonie et précaution, et ce, pour une catégorie d’individus uniquement. En effet, ces actifs sont interdits aux jeunes enfants ainsi qu’aux femmes enceintes et allaitantes. Ils sont également déconseillés chez les personnes souffrant d'allergies.

Comment fabriquer un dentifrice naturel ?

Pour connaître à la loupe les ingrédients présents dans un dentifrice bio, une des solutions consiste à en fabriquer.

Voici une recette ou DIY dentifrice zéro déchet à base de fluor 100 % naturel 

Les ingrédients

  • 1 cuillère à café de kaolin ;
  • 1 cuillère à café de fluor ;
  • 3 cuillères à soupe d’huile de coco ;
  • ½ cuillère à café de bicarbonate de soude ;
  • 5 gouttes d’extrait de pépin de pamplemousse (EPP).

Les étapes

  1. Dans un bol, ajoutez l’huile de coco, le kaolin et le bicarbonate de soude ;
  2. Avec le dos d’une fourchette, écrasez délicatement l’huile de coco, puis mélangez tous les ingrédients ;
  3. Incorporez l’extrait de pépin de pamplemousse ;
  4. Il ne reste plus qu’à mouiller votre brosse à dents et à en prélever un petit pois.

Les variations possibles

Cette recette de base est déclinable à l’infini selon le rendu escompté sur les dents :

  • Pour les jeunes enfants, retirez le bicarbonate de soude et les huiles essentielles ;
  • Si vous souhaitez renforcer la blancheur de vos dents, ajoutez ½ cuillère à café de charbon végétal activé au mélange ;
  • Pour les individus souffrant de gencives sensibles, incorporez une cuillère à café de gel d’aloe vera à la solution ;

Comment remplacer un dentifrice bio ? Le siwak

Il existe des solutions naturelles avec lesquelles alterner l’utilisation des dentifrices maison au quotidien. Ce sont par exemple le Meswak ou siwak, une brosse à dents naturelle présente dans plusieurs cultures, en particulier indienne. Cet accessoire prend la forme d’une petite branche, dont l’extrémité se sépare. Un bâtonnet fibreux, une fois mâché, nettoie les dents et une racine est dédiée à un nettoyage mécanique.

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